Derniers jours avant d'arriver a Ushuaia, apres plus de 2 ans et demi de route!
Un peu de bassinage habituel a propos des Iles Malouines, sinon on ne serait pas en Argentine.
L'Atlantique, que je n'avais pas vu depuis longtemps!
Siska avance en direction de la pluie qui va retomber dans la journee
Un peu de petrole pour changer de la pampa monotone
Et la pluie pour changer du froid sec
Arrivee a Rio Grande, etape du jour. Hmmmm! Ca donne envie
Tiens, des iles?!
Rio Grande, la deuxieme (et derniere) ville de Terre de Feu argentine apres Ushuaia, est celebre pour son urbanisme de type Aschier
Et en reflechissant bien, il a beau pleuvoir et faire froid, je prefere continuer sur la route venteuse. Siska reste.
Bien m'en prend car le proprio d'une estancia me laisse squatter un batiment vide pour ne pas dormir dehors. La pluie s'est arretee.
Le froid s'installe definitivement!
Rencontre franco-canadienne sur la route au depart
Un peu d'arbres. C'est pas encore la foret, mais ca change de la pampa.
Un barrage de castors. Lp'animal a ete introduit par le gouvernement argentin qui en a perdu le controle. Et hop!
La pluie de ces deux derniers jours a bien enneige les sommets qui me separent d'Ushuaia. Mais avant d'y arriver...
... une derniere etape a Tolhuin, village au bord du lac Fagnano. Principale attraction pour les cyclos?
La boulangerie La Union, d'Emilio, qui accueille les cyclistes de passage!
... et qui les gave d'empanadas bien chaudes
Tout le monde se retrouve chez Emilio : Siska d'abord, puis Mathieu et Olivier les deux Francais vu plus tot sur la route, Laurie et Julien les Belges du ferry puis Hanna et Romain, de vieilles connaissances!
Emilio ne laissera pas partir la troupe sans s'assurer que l'on ait englouti notre quota d'empanadas
Avant... Apres!
Un dernier coup d'oeil a la boutique, un grand merci a Emilio et c'est reparti
Direction les montagnes; Ushuaia se cache derriere
Dernier col du periple, le Paso Garibaldi
La nature qui entoure Ushuaia est magnifique
Le celebre panneau Bienvenue a Ushuaia - Fin del Mundo, aupres duquel tous les cyclistes se prennent en photo en arrivant, n'est plus. Tristesse, il faut se rabattre sur ces deux machins...
En guise de supporters, 3 policiers qui controlent un camion me regardent sans expression, mais le chauffeur crie et agite les bras dans ma direction pour me feliciter. C'est le seul qui aura compris l'importance du moment.
Maintenant, reste a entrer dans la belle Ushuaia, ville la plus australe du monde. Pas la plus jolie...
Je me refugie dans un hostel du centre, sentant la pluie qui se pointe, et passe une journee calme en attendant les autres cyclos.
Debarque Romain en premier. En forme, malgre son derailleur qui a rendu l'ame
Grande surprise du jour : Meredith, qui est arrivee en meme temps que moi, en voilier. Je l'avais croisee par hasard a Uyuni en Bolivie, et on faisait la course pour rigoler. Ex-aequo, du coup. On avait rencontre Romain ensemble, dans le desert de Basse Californie, au Mexique, il y a deja 2 ans. Retrouvailles incroyables!
Gastronomie Ushuaienne : brochette de cyclotouristes a la biere
Le casino moche a pignon sur Canal de Beagle
En petit, au bout du ponton, le voilier de l'oncle de Meredith, avec lequel elle navigue depuis L'Ile de Vancouver, au Canada!
Le pitre a gauche, c'est Dimitri, un Lyonnais parti de Quito en tricycle et que je n'aurai rencontre qu'a la fin de la derniere etape.
Fin de la route!
Quelle tristess de devoir quitter tous ces magnifiques chiens latinoamericains, au pedigree si interessant
Essais d'un velo anti-crevaisons
Demontage du vrai velo qui-creve-mais-pas-trop. Le porte-bagage avant, entre la vie et la mort, devra se refaire une sante a Madrid. En attendant, j'arrache tout!
Il faudra que ca rentre dans un carton!
Mais le fier velo resiste et casse meme mon fidele outil a tout faire, une pedale refusant de se laisser devisser.
Un dernier repas d'adieux, en esperant revoir tous ces zozos un jour...
...et deja la nostalgie de la selle alors que je m'aprete a prendre l'avion pour Buenos Aires, ou je vais retrouver Matthieu (avec qui j'ai partage 10 mois de route entre le Perou et l'Argentine) pour une petite semaine.
J'emmene dans mes bagages le vent de Terre de Feu sous la forme d'un beau rhume qui va me coller a la peau quelques jours, histoire de garder un souvenir...
-
30 mois, 38 500 kilometres, 18 pays
Une grande aventure que j'ai eu plaisir a partagersur ce blog.
Un voyage de retour en douceur ou presque, de Madrid a Lyon en velo de nouveau, apres trop de vols en avion.
Les retrouvailles sont prévues le 21 avril 2012 a midi au Parc de la Tete d'Or a Lyon, avec la famille et les amis.
Et, bientot, un livre.
Une affaire a suivre, donc!
A bientot, et a vos velos!
Un peu de bassinage habituel a propos des Iles Malouines, sinon on ne serait pas en Argentine.
L'Atlantique, que je n'avais pas vu depuis longtemps!
Siska avance en direction de la pluie qui va retomber dans la journee
Et la pluie pour changer du froid sec
Arrivee a Rio Grande, etape du jour. Hmmmm! Ca donne envie
Tiens, des iles?!
Rio Grande, la deuxieme (et derniere) ville de Terre de Feu argentine apres Ushuaia, est celebre pour son urbanisme de type Aschier
Et en reflechissant bien, il a beau pleuvoir et faire froid, je prefere continuer sur la route venteuse. Siska reste.
Bien m'en prend car le proprio d'une estancia me laisse squatter un batiment vide pour ne pas dormir dehors. La pluie s'est arretee.
Le froid s'installe definitivement!
Rencontre franco-canadienne sur la route au depart
Un peu d'arbres. C'est pas encore la foret, mais ca change de la pampa.
Un barrage de castors. Lp'animal a ete introduit par le gouvernement argentin qui en a perdu le controle. Et hop!
La pluie de ces deux derniers jours a bien enneige les sommets qui me separent d'Ushuaia. Mais avant d'y arriver...
... une derniere etape a Tolhuin, village au bord du lac Fagnano. Principale attraction pour les cyclos?
La boulangerie La Union, d'Emilio, qui accueille les cyclistes de passage!
... et qui les gave d'empanadas bien chaudes
Tout le monde se retrouve chez Emilio : Siska d'abord, puis Mathieu et Olivier les deux Francais vu plus tot sur la route, Laurie et Julien les Belges du ferry puis Hanna et Romain, de vieilles connaissances!
Emilio ne laissera pas partir la troupe sans s'assurer que l'on ait englouti notre quota d'empanadas
Avant... Apres!
Un dernier coup d'oeil a la boutique, un grand merci a Emilio et c'est reparti
Direction les montagnes; Ushuaia se cache derriere
Dernier col du periple, le Paso Garibaldi
La nature qui entoure Ushuaia est magnifique
Le celebre panneau Bienvenue a Ushuaia - Fin del Mundo, aupres duquel tous les cyclistes se prennent en photo en arrivant, n'est plus. Tristesse, il faut se rabattre sur ces deux machins...
En guise de supporters, 3 policiers qui controlent un camion me regardent sans expression, mais le chauffeur crie et agite les bras dans ma direction pour me feliciter. C'est le seul qui aura compris l'importance du moment.
Maintenant, reste a entrer dans la belle Ushuaia, ville la plus australe du monde. Pas la plus jolie...
Je me refugie dans un hostel du centre, sentant la pluie qui se pointe, et passe une journee calme en attendant les autres cyclos.
Debarque Romain en premier. En forme, malgre son derailleur qui a rendu l'ame
Gastronomie Ushuaienne : brochette de cyclotouristes a la biere
Le casino moche a pignon sur Canal de Beagle
En petit, au bout du ponton, le voilier de l'oncle de Meredith, avec lequel elle navigue depuis L'Ile de Vancouver, au Canada!
Le pitre a gauche, c'est Dimitri, un Lyonnais parti de Quito en tricycle et que je n'aurai rencontre qu'a la fin de la derniere etape.
C'est un peu comme les roulettes sur les côtés, mais en plus classe...
Fin de la route!
Quelle tristess de devoir quitter tous ces magnifiques chiens latinoamericains, au pedigree si interessant
Essais d'un velo anti-crevaisons
Demontage du vrai velo qui-creve-mais-pas-trop. Le porte-bagage avant, entre la vie et la mort, devra se refaire une sante a Madrid. En attendant, j'arrache tout!
Il faudra que ca rentre dans un carton!
Mais le fier velo resiste et casse meme mon fidele outil a tout faire, une pedale refusant de se laisser devisser.
Un dernier repas d'adieux, en esperant revoir tous ces zozos un jour...
...et deja la nostalgie de la selle alors que je m'aprete a prendre l'avion pour Buenos Aires, ou je vais retrouver Matthieu (avec qui j'ai partage 10 mois de route entre le Perou et l'Argentine) pour une petite semaine.
J'emmene dans mes bagages le vent de Terre de Feu sous la forme d'un beau rhume qui va me coller a la peau quelques jours, histoire de garder un souvenir...
-
30 mois, 38 500 kilometres, 18 pays
Une grande aventure que j'ai eu plaisir a partagersur ce blog.
Un voyage de retour en douceur ou presque, de Madrid a Lyon en velo de nouveau, apres trop de vols en avion.
Les retrouvailles sont prévues le 21 avril 2012 a midi au Parc de la Tete d'Or a Lyon, avec la famille et les amis.
Et, bientot, un livre.
Une affaire a suivre, donc!
A bientot, et a vos velos!
Baptiste
5 commentaires:
bien joué fils
Comment dire....bon je crois que je l'ai déjà dit...mouchoirs svp.
Maman poule
Thinking of you today as you celebrate. Sorry that we couldn't make France this year, who knows, maybe next year?
What a fantastic achievement, every blessing for the future, Beverley and Desiree
I see that it comes up the 21st, of course back here, we're still in Friday 20th! ;-)
...je découvre ce blog aujourd’hui,..juste un petit mot... ...BRAVO !
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