130. Porto Alegre

Nous voilà donc entrant dans la grande ville. On ne sait absolument rien du lieu, alors tout est surprise!



Logements de fortune...


...le long de la piste de jogging!


On traîne un peu le long de cette balade, puis on entre dans le centre-ville proprement dit. Alors qu'on ne sait pas du tout ou l'on va, on entend un type crier a notre passage, de l'autre côté de la rue. Marcos est coursier à vélo et a fait du cyclotourisme en Amérique du Sud également.


La machine solidaire se met en marche et on se retrouve très vite chez Aline et Igor, deux collègues de PedalExpress, devant un café.


Après le boulot, Marcos passe nous prendre et nous guide jusqu'a sa maison où il vit avec son père. On y restera 4 jours!




Pour le tri sélectif, il faut une formation spéciale!


Vieille rue piétonne du centre


Petit tour des musées. On est tombés en plein biennale d'art contemporain.












Marché central












La maison de la culture, un ancien hôtel


Et son toit-terrasse original












Petits conflits architecturaux...


Le thème de la biennale latinoaméricaine porte sur les notions de nationalité, de frontières et tout ce qui tourne autour. Ici des drapeaux bizarres, en sable sous plexi...


...avec des fourmis partout! Devinez qui est aux anges!


Plus tard, Masa Critica! Ca faisait longtemps depuis celle de Vancouver!


Tout se passe dans la joie et la bonne humeur


Un intérêt tout particulier est porté a la communication avec les automobilistes, histoire que ca reste bon enfant. En effet, en février dernier un dingue a foncé dans le tas avec sa voiture, renversant des dizaines de personnes dont Marcos en première ligne. Aujourd'hui le procès est en cours, et le conducteur qui ne s'est même pas vu retirer son permis a déclaré, entre autres, qu'il ne poursuiverait pas les méchants cyclistes qui ont rayé sa carrosserie avec leurs vélos et leurs dents. Une histoire de fous!


Avec Renata, la copine de Marcos, dans une rue qui a été en lice dans le concours international des plus belles rues.




Marcos s'initie au tatouage. Diego le Colombien offre son bras.


Téméraire, il laisse même Renata s'y mettre! Pas froid aux yeux!


Une dernière petite bouffe, c'est le dernier soir.


Le lendemain on dit adieux à nos supes hôtes et on quitte la grande cité pour se replonger dans la campagne déserte, en direction de l'Atlantique, vers la pas si fameuse que ça Costa Doce








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