96. Cordillera Blanca

A Caraz, les locaux sont tres étonnés d'avoir eu une semaine consécutive de soleil. Traduction : la rando c'est maintenant ou jamais, car la pluie arrive.

Nous montons donc - horreur! - dans le  4x4 de Jorge, qui nous emmene a la Laguna de Parón, a deux heures de la, en compagnie de Sarah, une Suisse. Notre blaspheme est puni par un bottage de cul en regle appliqué a nos pauvres corps déja bien éprouvés, du a une route monstrueusement cabossée.



Le lac se trouve a 4185m...



...et nous en rajoutons en grimpant sur la moraine qui le surplombe, histoire d'avoir une meilleure vue, depasser notre record d'altitude (meme si en 4x4 et a pied ca ne compte pas), et bien sur souffler comme un phoque a chaque pas (le cyclotouriste ne vaut pas grand chose a pied dans des "cailloux" de 2m de haut)

.


Bon ok, la vue est pas mal.





Pause canap'








Beauté sans nom, qui se merite. L'effort coute a cette altitude, nous revenons avec un mal de crane et l'ivresse etrange d'altitude.

Une douche electrique pour se remettre avant le départ pour Huaraz. Ne pas mettre les doigts (done).


Sur la route de Huaraz, le temps n'est pas au rendez vous et nous cache les magnifiques sommets enneigés de la Cordillera Blanca


Ville beaucoup plus grande, Huaraz nous offre une belle Plaza centrale


Un peu de hauteur sur la ville


Musée avec de belles pierres taillées, pour les rituelles

Pause jardin


Nos copines les mummies


Petits pas de danse locale pour Hanna au détour d'une rue.

Pause café sympa, tellement rare au Pérou
 
 
Moins rare et tellement sympathiques : les immenses marchés couverts!

Cochon d'inde vivant...

ou pas!
... ou cabeza de mouton, qui n'en veut?


Apres toutes ces émotions, Bat étudie la route pour le lendemain... direction un parc national et surtout l'un des plus beaux glaciers du monde! Malheureusement sans Hanna qui préfere rester a Huaraz pour attendre un mois la fin de la saison des pluie. Nous espérons la revoir bientot sur la toute de l'Argentine.

1 commentaires:

Anonymous said...

Et bien quelle beauté et quel silence. Une grimpette qui vaut le détour.
Mais finir sur les cochons d'inde beurk....
Baptiste attention tu lis trop près ce n'est pas bon pour les yeux!
Bonne route sous le soleil.
M et M