23.04.2009
Je me réveille assez tôt, et je rencontre enfin le capitaine pirate dans la matinée. On discute un peu, je fais sécher mes affaires (mouillées depuit l'avant-veille) au soleil. Je me plombe l'estomac et je remplis ma sacoche a nourriture de bagels bien lourds gratuits car issus de dumpster diving, l'art de la récup dans les poubelles des magasins, et je prends la route assez tard, a 12h45.
Je n'ai pas pu faire de meilleure photo du lac. Ce doit être sa partie la moins jolie. En vélo, on ne fait pas trop de détours hasardeux pour savourer la vue, surtout quand il y a beaucoup de relief.
Il est encore trop tôt pour ca, non?
Hmmmm, Duncan... ...bonjour et au revoir! Je continue ma route vers Maple Bay, dans l'espoir d'une ville meilleure.
Et alors que j'hésite sur la route a suivre, consultant ma carte (un peu minable) en me demandant ou je pourrais bien dormir, arrive Lise dans sa voiture, qui s'arrete devant moi et vole au secours du touriste visiblement perdu. Après quelques phrase échangées en Anglais, on se rend compte que l'on parle tous les deux francais. Lise est québecoise, et elle accepte de me laisser planter ma tente dans son jardin pour la nuit.
Dans le jardin, au beau milieu de la forêt, les chevreuils passent de temps en temps voir s'il y a quelque chose a manger pour eux...
Je bénéficie d'un accueil complet, avec douche, apéritif, repas, et internet pour donner quelques nouvelles. Comme un coq en pâte! Merci!
1 commentaires:
L'aventure géographique est belle mais l'aventure humaine est...indéfinissable.
M et M
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