Etape non prévue a la base, la pause sur Arica aura été de courte durée. Problème du jour, refaire du stop dans l'autre sens pour remonter au Salar de Surire ou nous attendent les vélos..
On essaye de faire pitié, Matt s'y colle.
Au vu du peu de traffic autre que gros camions Boliviens qui ne veulent pas nous prendre - pas de traffic léger, dingue! - , nous nous résignons a prendre le prochain truc qui passe... et ca sera un bus international qui va en direction de la Paz. Il est trop tard pour espérer prendre un camion de la mine maintenant, changement de plan, nous nous faisons arrêter au croisement pour un village - Putre - c'est mieux qu'au milieu de nulle part pour la nuit...
Nous ne seronspas inscrits sur le registre des passager du bus, backchich pour les chauffeurs. Ca fonctionne comme ca ici...
Au croisement de Putre, stop en pickup. On commence à avoir la technique!
Putre, connue comme touristique n'a pourtant rien de passionnant. Elle sert surtout de base pour le parc national Lauca
Le lendemain re-stop, il faut atteindre le croisement ou pourront nous prendre les camions de la mine, et cela avant 12h...
Bat s'y colle cette fois-ci!
Succès, après des sauts dans trois camions différents nous arriverons à prendre un camion de la mine au chauffeur très sociable.
Merci les terribles camions.
La journée n'est pas finie pour autant, il faut refaire les 8km de Salar nous séparant du refuge et des vélos.
L'occasion de rencontrer Patrick - un cycliste américain - pour un petit moment. Il a lui aussi cassé une grosse pièce de son vélo deux jours avant, et fait un aller retour express a Arica.
Coincidence de la route, rencontres aux milieu de nulle part...
Arrivée au refuge et remontage du vélo pour Matt
Lever de soleil sur le Salar. Pas de neige cette fois-ci
Vélo - étendoir
Et c'est parti pour le Volcan Isluga! Réellement cette fois.
Belle vue sur le Salar en arrière-plan mais ca monte
On pédale dans le sable, c'est mou et occasione parfois des petits problèmes techniques.
Enfin! Après l'un des pires passages de tôles ondulées/sable que l'on ai fait sur des kilomètres, nous voila aux portes du Volcan Isluga
Changement de décor, étonnante vallée
Piste toujours autant easy-ride...
Pour arriver aux thermes d'Enquelga, très jolis...
mais où l'eau n'est pas chaude... mauvaise surprise du jour, notre bain hebdomadaire finit en fiasco et nous resterons peu de temps dans cette eau ingrate.
Notre refuge pour la nuit, une chambre en construction/ayant servi/à l'abandon?
Départ, la frontière Bolivienne n'est plus loin
Un peu de dunes...
...et la piste sympa qui va avec
Du goudron tout neuf rien que pour nous, pour quelques kilomètres. Un bonheur.
Deux cyclistes chiliens rencontrés. On suivait leurs traces depuis deux jours, mais ils font demi-tour et s'en vont en direction de la côte. Bye-bye
La frontière, clean et efficace coté Chilien et l'inverse coté Bolivien.
Welcome to Bolivia et le Salar de Coipasa!
1 commentaires:
Quel bleu ! Ce ciel est splendide. Seul votre bain ne fait pas rêver .
Post a Comment