105. ¡Bolivia!


Et nous voila enfin en Bolivie!

On commencait a se lasser un peu du Pérou et de la Sierra, il est temps de se plonger un peu dans l'Altiplano. Le passage à l'immigration se passe beaucoup mieux que côté péruvien, c'est déjà bon signe!


Arrivée à Copacabana, village qui a donné son nom à la fameuse plage de Rio de Janeiro (et non l'inverse!), devant la basilique où il est de rigueur de faire baptiser sa voiture avec force fleurs, cidre et décorations diverses.


La jolie plage et son eau à pas beaucoup plus que 5 degrés. Dommage!


Le petit plus bolivien : les boucheries de nuit


5 mois après, une nouvelle bière : la Paceña. Pas de quoi écrire un article dessus mais un changement est un changement.


les p'tites rues tranquilles, pas loin des rues à gringos


La recette du chicharron est toujours la même : porc frit dans la graisse de porc!


Par rapport a Puno, le lac ne parait pas tres pollué. Mais on ne sait pas trop où vont les ordures...


Et hop, une nouvelle voiture bénie ce dimanche!


Une journée de repos après avoir fêté les 27 ans de Matt, nous profitons du calme avant d'attaquer la route de La Paz, la capitale gouvernementale du pays.


Bye bye Copcabana


On se rapproche de la Cordillera Real




Copacabana est située sur une péninsule. La seule connexion terrestre se fait par le Pérou, alors côté bolivien il faut prendre un bac.


Petit repas traditionnel pour prendre des forces


Et on traverse avec les divers véhicules du moment.




Derrière la péninsule, côté Est, il reste un petit bout de lac. Enfin ca fait quand meme un bout!


Les villages traversés nous paraissent très tranquilles. On remarque beaucoup plus de briques qu'au Pérou, ou de nombreuses constructions étaient en terre crue.


Certaines choses ne changent pas...


Adieu le lac


Chambre pas chère, mais pas de draps, ni de toilettes. Bon, pas chère on a dit : 1,60 Euro pour deux!


Il semble qu'on ait quitté le lac juste à temps


Arrêt drague pour Matt pendant que Bat essaie de téléphoner à Raúl, notre contact cycliste à La Paz


Passage rapide à El Alto et son marché, la célèbre banlieue haute et pauvre de La Paz, direction l'autoroute interdite aux vélos mais on savait pas...


Un panorama à couper le souffle sur La Paz depuis El Alto


Entre les plus pauvres et les plus riches, on descend de près de 1000m!


Bonheur de retrouver un trafic urbain digne de ce nom.


Pause de 3 jours chez Raúl et sa femme Linda qui est canadienne. On a loupé la séance photo avec eux pour cause de départ précipité. Il a fallu d'urgence déplacer toutes nos affaires chez Cristian, un autre cycliste, avant que nos premiers hôtes ne partent en vacances.


Plus on va vers le Sud, plus on s'enfonce dans un cañon complexe et très érosif. Heureusement, il ne pleut pas trop a La Paz, mais ca n'empêche pas des milliers de personnes d'être évacuées de chez elles à cause des glissements de terrain.


L'église San Francisco, dans le centre, style végétal. L'église des indigènes au temps des Espagnols, ces derniers se gardant la cathérale pour eux, de l'autre côté de la rivière (aujourd'hui sous la rue principale).




La place Murillo, qui accueille le parlement et le palais présidentiel, ainsi que la cathédrale


La Paz : des immeubles dans tous les sens, des câbles électriques dans tous les sens, et tout autour, les quartiers populaires à perte de vue


L'église San Francisco et la rivière disparue

Concurrence Pepsi - Coca Cola dans un des nombreux marchés, ici tout neuf






Depuis le Musée National d'Art, un apercu de la cathédrale, et, harmonieusement ajoutée derrière, la banque centrale de réserve.


Bâtiment ancien en travaux (ou en écroulement) et câbles électriques hirsutes sur fond d'immeubles modernes en pagaille : du pur paysage paceño.


Urbanisation à deux vitesses




Les colectivos colorés, qui quand ils ne nous écrasent pas peuvent servir à se rendre à plein d'endroits sympas (ou non), pour pas cher.


Un petit tour au musée d'art contemporain pour voir ce qui se fait de beau


















Coucher de soleil sur l'Illimani, la très grosse montagne qui veille sur la ville.


Pas mal d'art urbain sur les murs, parfois des fresques officielles, souvent du "autre"




Une seule soirée en ville avant une courte nuit : Julie, une amie de promo de Baptiste, est dans l'avion, on la retrouve tôt demain matin et on se rend dans la ville de Cochabamba, en BUS!

1 commentaires:

Anonymous said...

La PAZ, c'est vraiment impressionnant! Et le resto sur la plage pour l'anniversaire de Matt c'est toujours le club Med?
Et du ciel bleu bleu bleu...
M e M